espaces de coworking

Jésus travaillant depuis son bureau dédié à Nuage-B — un espace calme et moderne pour les travailleurs autonomes à Montréal. En bref — Du café au coworking à Montréal Pendant des années, Jésus Robles, fondateur de Mark3ting – Digital Marketing Solutions, a travaillé dans des cafés un peu partout à Montréal avant de trouver plus de stabilité et de concentration chez Nuage-B, à Saint-Henri. En rejoignant la communauté de coworking à Montréal, il est passé d’une routine de cafés bruyants à un bureau dédié dans un environnement professionnel plus calme et structuré. Il bénéficie maintenant d’une adresse d’affaires à Montréal, de salles de réunion et d’un endroit où il peut laisser son matériel en sécurité et recevoir ses clients en toute confiance. Son histoire reflète le parcours de nombreux travailleurs autonomes et télétravailleurs : quitter les cafés pour un espace de coworking à Saint-Henri, plus durable et plus professionnel. Du café au coworking à Montréal Si vous avez déjà essayé de travailler dans des cafés à Montréal — portable, écouteurs, tasse de café et un peu d’espoir — vous comprendrez facilement le parcours de Jésus Robles. Aujourd’hui, il dirige Mark3ting – Digital Marketing Solutions depuis son bureau à l’intérieur de Nuage-B, à Saint-Henri, mais cela n’a pas toujours été son quotidien. Son chemin vers le coworking s’est construit au fil des années, en cherchant simplement un endroit où il pourrait vraiment se concentrer. Un travailleur autonome entre tables, prises et bruit Avant de s’installer chez Nuage-B, Jésus passait ses journées là où il trouvait une table libre. Habitant NDG, ses matinées commençaient souvent dans des endroits familiers : un Starbucks au coin de la rue, un Second Cup à quelques pâtés de maisons, ou le café où le personnel connaissait déjà sa commande. Plus tard, il s’est aventuré davantage — au centre-ville, sur le Plateau, sur l’avenue Mont-Royal — toujours à la recherche d’un café un peu plus calme, avec une prise disponible. « Au début, j’aimais le mouvement autour de moi, raconte-t-il. Ça donnait une impression de liberté. » Mais avec le temps, le bruit de fond constant, le Wi-Fi parfois capricieux et la chasse quotidienne à une prise ou à une table ont fini par le fatiguer. Un après-midi, il a tout additionné : cafés, collations, déplacements, stationnement. La facture montait facilement à plusieurs centaines de dollars par mois — uniquement pour pouvoir travailler quelques heures chaque jour. C’est là qu’il a compris que cette routine de cafés n’était plus viable. Une travailleuse autonome dans un café animé à Montréal — une réalité souvent chaotique avant de découvrir le coworking professionnel. Cette prise de conscience l’a poussé à chercher un environnement différent — pas un bureau traditionnel avec un bail de plusieurs années, mais un endroit où il pourrait s’asseoir, respirer et savoir que sa journée ne dépendrait plus du niveau de bruit ou de la disponibilité des prises électriques. À la recherche de quelque chose de plus stable En explorant des options près de Lachine et de Saint-Henri, Jésus a découvert Nuage-B, un espace de coworking à Saint-Henri situé dans le bâtiment historique du Château Saint-Amboise, au bord du canal de Lachine. Le contraste avec les cafés était immédiat. « Ça m’a frappé tout de suite, se souvient-il. De l’extérieur, on sent le caractère industriel du bâtiment, mais à l’intérieur, l’ambiance est moderne et apaisante. C’est le genre d’endroit où l’esprit cesse enfin de sauter d’une chose à l’autre. » Quelques jours plus tard, il rejoignait la communauté de Nuage-B avec un bureau dédié, quelque chose qu’il n’avait pas eu depuis longtemps. Un autre rythme, une meilleure routine Le changement a été discret au début, mais bien réel. Au lieu de se dépêcher pour trouver une table libre, Jésus pouvait simplement entrer, déposer son sac et se mettre au travail. Plus de compétition pour le volume de la musique. Plus de crainte de voir quelqu’un bousculer son portable. Plus besoin de tout ranger juste pour aller dîner. Sa routine a aussi évolué dans les détails : il a commencé à apporter ses repas de la maison et à utiliser la cuisine partagée, ce qui lui a permis d’économiser et d’adopter un rythme plus sain. Et pour les rencontres avec les clients, le changement a été radical. « Avant, j’essayais de tenir des conversations sérieuses dans des cafés bruyants. Maintenant, j’utilise les salles de réunion — calmes, privées, avec de grands écrans. Les clients te perçoivent autrement quand l’environnement est aligné avec ton travail. » Au-delà du confort, Jésus a trouvé quelque chose auquel il ne s’attendait pas : une vraie stabilité. « Quand tu travailles seul, tu as parfois l’impression de flotter. Avoir un espace dédié, jour après jour… ça te ramène les pieds sur terre. » Construire Mark3ting chez Nuage-B Depuis son espace de travail à Saint-Henri, Jésus dirige Mark3ting – Digital Marketing Solutions, une agence de marketing numérique qui accompagne des entreprises au Canada, au Mexique et aux États-Unis. Travailler dans un espace de coworking à Montréal lui offre un environnement stable pour se concentrer sur la stratégie, les mandats clients et la création de contenu. Être entouré d’autres professionnels — rédacteurs, consultants, designers, fondatrices et fondateurs — apporte une énergie difficile à recréer lorsqu’on travaille seul à la maison. « Tu vois les autres avancer sur leurs projets, explique-t-il. Ça te motive. Pas dans un esprit de compétition, mais plutôt comme un rappel que nous essayons tous de bâtir quelque chose. » Son installation chez Nuage-B a aussi renforcé l’image de son entreprise. Disposer d’une véritable adresse d’affaires à Montréal et d’un cadre professionnel a changé la façon dont les clients perçoivent Mark3ting. Pour beaucoup de travailleurs autonomes, ce type de solution fonctionne presque comme un bureau virtuel : une adresse sérieuse, la gestion du courrier, des salles de réunion et un point d’ancrage concret pour le travail. « Quand les gens viennent te voir ici, ils perçoivent immédiatement ton niveau d’engagement, dit-il. On voit que ce n’est pas juste un projet à